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Permanence : 07 60 34 76 25
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ACTUALITES

Djemi Drici, en tant qu’immigré algérien installé en France à 7 ans, accorde une importance personnelle aux problèmes de l’intégration des différentes communautés dans la vie locale et nationale.

Luttant contre les préjugés et les communautarismes, il compte sur le dialogue et l’ouverture sur les autres pour mobiliser le peuple de France dans toutes ses composantes autour d’un projet partagé s’attaquant aux véritables problèmes et aux enjeux essentiels pour l’avenir de nos enfants.

En témoigne son action auprès de la communauté Rom très représentée à Denain.

Transgressant les opinions préconçues de chaque camp, il tente de renouer le dialogue et invite chacun à tendre la main à l’autre pour refonder une communauté locale unie, fraternelle et solidaire.

Bien conscient des torts partagés, il prône une vision d’avenir qui saura effacer les erreurs du passé.

Son expérience personnelle prouve qu’il est possible d’atteindre cet idéal.

Mettant chaque communauté face à ses propres responsabilités, Djemi Drici pense qu’« il faut amorcer […] une démarche pédagogique [et] ne pas les laisser se replier sur eux ».

Surtout ne pas stigmatiser les identités particulières alors que les problèmes sociaux graves que connait la région trouvent leurs origines dans une gestion politique désastreuse depuis plus de 30 ans.

Djemi Drici : un engagement politique au service des Denaisiens et sans compromission possible.

Suite à la décision de la députée maire de Denain de créer une commission chargée de préparer l’accueil de réfugiés Syriens en septembre 2015, Djemi Drici a décidé d’engager son mandat politique de conseiller municipal pour alerter sur les risques d’une telle décision.

En effet, Denain souffre depuis plus de 30 ans et la ville a eu le triste honneur d’être reconnue la plus pauvre de France en 2010.

Ajouter de la misère à la misère est intolérable, dangereux et injuste pour Djemi Drici et son équipe.

Il défend l’idée que les zones socialement sinistrées n’ont pas à prendre en charge ce type d’effort et il demande aux communes les plus favorisées d’assumer leur responsabilité.

Il clame haut et fort à qui veut bien l’entendre qu’« il est grand temps de discuter, non pas de la redistribution des richesses mais de la répartition des souffrances ».

Déjà durement touchée par l’arrêt des activités sidérurgiques et minières et aujourd’hui confrontée à l’intégration d’une population Rom importante, Denain n’est pas en capacité d’accueillir des réfugiés Syriens dans de bonnes conditions.

Il exige donc des responsables politiques de plus se concentrer sur les vrais problèmes des Denaisiens, à savoir un taux de chômage de plus de 30% et un taux de pauvreté dépassant les 42%, plutôt que d’envisager un élan de solidarité envers un peuple, certes en souffrance, mais que des territoires plus favorisés pourraient accueillir avec dignité.